Mes romans

A ce jour, j'ai publié 19 romans et une vingtaine de nouvelles. Ici, vous ne verrez que ceux de la "série Langsamer". Mon héros et moi-même sommes unis pour le meilleur et nous finirons nos jours (littéraires) ensemble. Si vous désirez vous faire une idée de ce que j'ai écrit avant Langsamer, vous pourrez le demander à Mr Google ; il a de quoi vous éclairer sur le sujet. Mais je vous préviens, beaucoup de mes "vieux" romans sont épuisés... contrairement à leur auteur que Langsamer met continuellement à l'épreuve.

Une si belle île...

Une si belle île...

"Une si belle île" est le dernier paru de la "série Langsamer". Ce roman est un huis clos qui pourrait s'écrire "huit clos" car il place Langsamer sur une petite île bretonne au milieu de huit personnages. Charge à chacun d'entre eux de s'acquitter d'une mission très particulière : procurer à leur ami, Paul Foch-Cormadec, un richissime armateur breton une mort aussi douce qu'indolore. Celui-ci est atteint d'une maladie incurable et veut en finir sans passer par les affres d'un traitement aussi douloureux qu'inutile. Il imagine un très morbide Cluedo dont Langsamer sera l'arbitre.  Evidemment, les choses ne vont pas tout à fait se passer comme prévu.... 

L'étrange mort de Monsieur Stas

L'étrange mort de Monsieur Stas

Ce roman raconte l'histoire de Stanislas Sokolov, fils d'un immigré russe qui, subitement, ce trouve un don extraordinaire pour le violon. Il va devenir un soliste de réputation mondiale, gagner beaucoup d'argent et, de ce fait, pouvoir assouvir et financer la passion familiale pour le cheval et les courses hippiques. La narration du roman s'effectue à deux niveaux : Langsamer raconte l'histoire, l'étrange mort de Monsieur Stas et l'enquête qui s'ensuit, à une jeune religieuse rencontrée par hasard, cette relation étant entrecoupée de flash-backs qui replongent le lecteur dans l'action, au moment précis où elle se situe. 

Qu'un sans bien pur abreuve nos salons

Qu'un sans bien pur abreuve nos salons

"Qu'un sang bien pur abreuve nos salons" dépeint le désormais célèbre détective dans une situation et une enquête inhabituelles pour lui. Plus que jamais, l'intrigue tient dans le titre. Il vous faut juste faire la différence entre le sang biologique - l'hémoglobine -  qui coule abondamment, comme il se doit dans un polar, et le sang... synonyme de filiation. Quant au vers de notre hymne national que le titre pastiche, il a aussi une signification. Car ce nouveau Langsamer flirte avec l'Histoire de France, autour de Marie-Antoinette et de sa cour. Quel rapport existe-t-il entre le sang des chevaux et celui des êtres humains ? La clé de l'énigme est entre vos mains, ce qui revient…

Mansour

Mansour

Comme dans Episto, MANSOUR est le titre éponyme du roman. C'est le surnom d'un tueur. Mais il s'agit cette fois d'un tueur à gages, aux multiples visages, dont la mission consiste à éliminer le favori des élections présidentielles. Les pouvoirs publics vont évidemment tout mettre en oeuvre pour l'en empêcher et Langsamer sera pressenti pour les y aider. En l'occurrence, il sera secondé par Jacket et Susan, un couple de détectives pour le moins pittoresques, que mes plus fidèles lecteurs connaissent bien car ils furent les héros de mon premier roman : "Le cheval du président" (1997). 

Episto

Episto

Sorti le 13 novembre 2020. Episto est le deuxième "Langsamer" publié par Lajouanie. Episto est le surnom, donné par un commissaire de la "Crime", à un tueur en série. Pourquoi Episto ? Parce qu'il écrit à Langsamer pour annoncer ses meurtres. Episto... épistolaire. Le tueur joue avec Langsamer. Il se croit assez fort pour distribuer les cartes. Comme l'arroseur arrosé, Episto finira par se faire prendre par Langsamer - on s'en doute - mais il faudra au vieux flic 450 pages et une avalanche d'homicides pour en venir à bout. 

Les neuf jours du cafard

Les neuf jours du cafard

"Les 9 jours du cafard" a reçu le Prix du Polar Normand 2020... à l'unanimité du jury, s'il vous plaît. Comme son titre l'indique, "Les 9 jours du cafard" se déroule sur 9 jours subdivisés en 9 chapitres. Le prix de sa version poche (mai 2021) est de... 9,90 euros. Tout un symbole ! Ce roman raconte une double enquête qui se déroule des deux côtés de la Manche. Pourquoi ? Parce que le coupable est protégé par une duchesse dont la seule crainte est d'avoir Langsamer sur l'enquête. En conséquence, elle l'oriente sur une piste parallèle, espérant que le vieux limier se laissera abuser. 

Déraison d'état

Déraison d'état

Comme son nom l'indique, "Déraison d'état" est un thriller de politique fiction, pimenté d'un zeste d'espionnage ou plutôt... de contre-espionnage. "Déraison d'état" explore les dessous d'une élection présidentielle, les manigances et manipulations pour faire gagner un camp contre un autre. La raison d'état consiste à détourner le regard d'une certaine morale quand la sûreté de l'état est en cause. Lorsque la raison d'état tourne mal, cela devient une... déraison d'état. Un séisme aux irréparables conséquences. 

Vingt briques pour un pantin

Vingt briques pour un pantin

"Vingt briques pour un pantin" contient l'intrigue dans son titre. Mais ça ne s'arrête pas là... faute de quoi, ce ne serait pas la peine de lire le livre ! Le "pantin", c'est un jeune journaliste qui va perdre son emploi et être obligé de quitter son pays, à la suite de mésaventures rocambolesques. Heureusement pour lui, c'est un ami de Laurence Friedman, l'héroïne de "Double JE", qui connaît Langsamer et lui obtient l'assistance du vieux flic. Dès lors, à la suite d'innombrables péripéties, le pantin va devenir vingt fois millionnaire.   

Double JE

Double JE

"Double JE" procède d'une structure originale puisque les têtes de chapitres ne comportent pas des numéros mais des pronoms : Je, Je', lui, elle, etc. Cela tient au fait que la narration est double. Ce sont deux jumeaux qui s'expriment à la première personne du singulier (d'où le titre), l'un représentant le bien et l'autre, le mal. Ils seront les fils conducteurs d'une intrigue qui commence par une enquête policière et se termine par un thriller géo-politique. Entre un style néo-classique et des dialogues que Michel Audiard ne renierait pas, vous tournerez les pages avec appétit... jusqu'à une fin qui vous laissera sur votre faim ! 

Bémol majeur

Bémol majeur

"Bémol majeur" est le premier roman de la "série Langsamer". Pour être tout à fait exact, il s'agit d'une novella (petit roman de 148 pages) qui fait suite à une série de nouvelles mettant en scène Langsamer, répertoriées sous le titre générique de "Août meurtrier". Sorti en février 2016, "Bémol majeur" introduit Langsamer dans le monde de la musique classique où le fin limier va enquêter sur l'assassinat de la femme d'un chef d'orchestre de renommée mondiale. Chaque chapitre est titré comme peuvent l'être les mouvements d'une symphonie ou d'un concerto. Le lecteur mélomane s'y retrouvera. L'amateur d'intrigues policières, aussi. 

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